Samedi 20 octobre
Samedi 20 octobre, 19h-22h, École Supérieure d’Art d’Aix-en-Provence
⬙ L'improbable
Marseille, France
http://limprobable.net
http://vimeo.com/limprobable
L’Improbable, happening / vidéo
Vidéo-transportation d’un musicien ou groupe de musiciens.
Les happenings sont tels des visions de Al écoutant Sam dans Code Quantum. Plus simplement ce sont des concerts improvisés, qui ne se feront qu’une fois… « J’ai rencontré l’Improbable, monstre à deux têtes, dans un café, le 29 juillet 2011. Je me rappelle plus bien ce qu’on a pris à boire mais on avait des verres sur la table. Les deux bouches ont parlé, pendant une demi-heure tout au plus, sans s’arrêter. Associations d’idées improbables qui s’enchaînent, sans vraiment que je comprenne le but de ma venue. L’improbable est né avec des mots-clés dans son cerveau : le café d’abord, la plateforme et la mutualisation, des mots qui doivent vous aller droit au coeur, mesdames et messieurs.Une musique de fond, sonore comme un noeud de chèvre qui se jouerait avec un bon paquet de gaffeur. Parce que c’est ça qu’ils font, étaler du gaffeur et organiser des concerts improbables. Et c’est comme ça que je suis tombée sur eux… Vous m’en direz tant… Et bien plus. L’improbable est un bicéphale et préfère se sustenter de musique, de films, de musiques de film. L’improbable supporte la culture, les gogos danseuses et le prix libre. Mais comment peut-on dire qu’on aime bien le prix libre ? »
http://limprobable.net
http://vimeo.com/limprobable
L’Improbable, happening / vidéo
Vidéo-transportation d’un musicien ou groupe de musiciens.
Les happenings sont tels des visions de Al écoutant Sam dans Code Quantum. Plus simplement ce sont des concerts improvisés, qui ne se feront qu’une fois… « J’ai rencontré l’Improbable, monstre à deux têtes, dans un café, le 29 juillet 2011. Je me rappelle plus bien ce qu’on a pris à boire mais on avait des verres sur la table. Les deux bouches ont parlé, pendant une demi-heure tout au plus, sans s’arrêter. Associations d’idées improbables qui s’enchaînent, sans vraiment que je comprenne le but de ma venue. L’improbable est né avec des mots-clés dans son cerveau : le café d’abord, la plateforme et la mutualisation, des mots qui doivent vous aller droit au coeur, mesdames et messieurs.Une musique de fond, sonore comme un noeud de chèvre qui se jouerait avec un bon paquet de gaffeur. Parce que c’est ça qu’ils font, étaler du gaffeur et organiser des concerts improbables. Et c’est comme ça que je suis tombée sur eux… Vous m’en direz tant… Et bien plus. L’improbable est un bicéphale et préfère se sustenter de musique, de films, de musiques de film. L’improbable supporte la culture, les gogos danseuses et le prix libre. Mais comment peut-on dire qu’on aime bien le prix libre ? »
Marseille, France
Statonells est un groupe de plasticiens/musiciens créé en 2004. Les diverses sources d’inspiration de sa musique allient essentiellement les musiques du monde au bruitisme et à l’expérimentation sonore. La vocation du groupe étant de faire évoluer sa musique par des chemins de traverse, ses trois membres fondateurs – Freddy Duries (diverses percussions), Patrick Lombe (guitare préparée, ukulélé, sanza) et Thierry Cheyrol (percussions, berimbau, fl ûte, synthé) – plébiscitent la rencontre avec d’autres musiciens. Parmi les dernières collaborations en date figure notamment Babou B’Jalah, musicien réunionnais et fonkézer (sorte de spoken word à la réunionnaise). Lors du dernier concert à La Belle de Mai dans le cadre de « la belle fête de mai », Georges-Marie Hosteing, percussionniste et chanteur de musique traditionnelle de la Réunion, a été invité à réaliser une expérimentation sur le Maloya (musique traditionnelle de la Réunion). Les deux membres invités du groupe sont actuellement Franck Omer, trompettiste et Rémi Luc Saulnier, violoniste – musiciens avec lesquels de nouveaux morceaux semi-improvisés sont en cours de développement.
Statonells est un groupe de plasticiens/musiciens créé en 2004. Les diverses sources d’inspiration de sa musique allient essentiellement les musiques du monde au bruitisme et à l’expérimentation sonore. La vocation du groupe étant de faire évoluer sa musique par des chemins de traverse, ses trois membres fondateurs – Freddy Duries (diverses percussions), Patrick Lombe (guitare préparée, ukulélé, sanza) et Thierry Cheyrol (percussions, berimbau, fl ûte, synthé) – plébiscitent la rencontre avec d’autres musiciens. Parmi les dernières collaborations en date figure notamment Babou B’Jalah, musicien réunionnais et fonkézer (sorte de spoken word à la réunionnaise). Lors du dernier concert à La Belle de Mai dans le cadre de « la belle fête de mai », Georges-Marie Hosteing, percussionniste et chanteur de musique traditionnelle de la Réunion, a été invité à réaliser une expérimentation sur le Maloya (musique traditionnelle de la Réunion). Les deux membres invités du groupe sont actuellement Franck Omer, trompettiste et Rémi Luc Saulnier, violoniste – musiciens avec lesquels de nouveaux morceaux semi-improvisés sont en cours de développement.
Dunkerque/Marseille, France
http://myspace.com/monsieurtrickster
Post-apocalytik one man band, Feromil c’est pas Jean-michel Jarre, ni David Guetta. C’est pas demain la veille, poêle à frire, tout reste à fer, en terre fertile, le fer chatouillera les oreilles, ferry boat, ferry, ferry boat, le fer rouillera, le fer déverrouillera, le fer grouillera, électro magnétisme et metal detractor. Transe post-industrielle expéri-métal portuopopulaire, jouée au détecteur de métaux. Affaire de fer, de foi et de foire, Feromil, tout droit sorti des usines de Dunkerque, fait chanter le fer, à travers sa musique usinesque et aquatique… Il branche son détecteur de métaux sur effets, puis sur ampli basse, enfi le son masque à gaz et caresse sa valise métallique : sur une transe aux basses envoûtantes, les sirènes d’usine et sirènes aquatiques hurlent et charment… D’export en export et de ports en ports, il se forge un son, qui l’emmène aux quatre coins de l’Europe.
http://myspace.com/monsieurtrickster
Post-apocalytik one man band, Feromil c’est pas Jean-michel Jarre, ni David Guetta. C’est pas demain la veille, poêle à frire, tout reste à fer, en terre fertile, le fer chatouillera les oreilles, ferry boat, ferry, ferry boat, le fer rouillera, le fer déverrouillera, le fer grouillera, électro magnétisme et metal detractor. Transe post-industrielle expéri-métal portuopopulaire, jouée au détecteur de métaux. Affaire de fer, de foi et de foire, Feromil, tout droit sorti des usines de Dunkerque, fait chanter le fer, à travers sa musique usinesque et aquatique… Il branche son détecteur de métaux sur effets, puis sur ampli basse, enfi le son masque à gaz et caresse sa valise métallique : sur une transe aux basses envoûtantes, les sirènes d’usine et sirènes aquatiques hurlent et charment… D’export en export et de ports en ports, il se forge un son, qui l’emmène aux quatre coins de l’Europe.
ESAA
Rue Émile Tavan
13100 Aix-en-Provence, France